Berlin - 12,3km de promenade
Stats: 12,3km de marche - soleil radieux
Arrivés à Berlin en début d'après-midi après un long voyage en train, nous avions besoin de nous dégourdir les jambes et de partir à la découverte de la ville: d'abord la longue longue Karl Marx Allee, ensuite la Alexander Platz toute destructurée - passage au pied de la tour de la télévision et puis les interminables "Under Linden" et là...
Mes plus lointains souvenirs d'actualités remonte à l'année 1989... j'avais alors 6 ans et rentrai à l'école primaire... je regardais encore le journal télévisé sur un poste noir et blanc avec une interminable antenne.
J'avais compris déjà à l'époque le côté historique de l'événement à savoir la chute du mur de Berlin. Et dans mon imaginaire s'imprimait à cet instant l'image d'une porte de Brandebourg grande grande grande... visible de loin , de très loin (de part et d'autre du mur - qui lui devait être particulièrement haut) un peu comme les arches du Cinquantenaire d'une grandiloquence toute 19e siècle... J'avoue avoir été un brin déçue - un peu trahie par mon imaginaire... la fameuse porte de Berlin de 26m de haut (selon wiki - et 45 m de haute pour le Jubelpark) était moins imposante que je ne l'aurais cru... et en plus j'étais 21 ans trop tard pour le concert des Pink Floyd...
bref, non loin de là se trouve le Reichstad (malheureusement je n'ai pu tester le dômé panoramique vu que tout les tickets horodatés étaient pris pour les 5 jours suivants)... et puis le mémorial de l'holocauste de Peter Eisenman.
Le mémorial est constitué d'une série de blocs en béton dont la hauteur varie. Le sol dans lequel s'ancrent ces "tombes" est modelé. L'ensemble forme un jeu topographique assez intéressant. Les blocs de la périphérie - sont utilisés comme banc par les touristes méditant sur la signification historique. Au centre du mémorial, les blocs plus élevés isolent le promeneur de l'animation de la ville allemande. Quelques rares rencontres sont faites au détour d'une rangée. Impression de solitude. Malgré le côté solennel du lieu et la présence de quelques gardiens, les blocs deviennent vite un immense terrain de cache-cache pour les insouciants de moins de 10 ans.
Arrivés à Berlin en début d'après-midi après un long voyage en train, nous avions besoin de nous dégourdir les jambes et de partir à la découverte de la ville: d'abord la longue longue Karl Marx Allee, ensuite la Alexander Platz toute destructurée - passage au pied de la tour de la télévision et puis les interminables "Under Linden" et là...
Mes plus lointains souvenirs d'actualités remonte à l'année 1989... j'avais alors 6 ans et rentrai à l'école primaire... je regardais encore le journal télévisé sur un poste noir et blanc avec une interminable antenne.
J'avais compris déjà à l'époque le côté historique de l'événement à savoir la chute du mur de Berlin. Et dans mon imaginaire s'imprimait à cet instant l'image d'une porte de Brandebourg grande grande grande... visible de loin , de très loin (de part et d'autre du mur - qui lui devait être particulièrement haut) un peu comme les arches du Cinquantenaire d'une grandiloquence toute 19e siècle... J'avoue avoir été un brin déçue - un peu trahie par mon imaginaire... la fameuse porte de Berlin de 26m de haut (selon wiki - et 45 m de haute pour le Jubelpark) était moins imposante que je ne l'aurais cru... et en plus j'étais 21 ans trop tard pour le concert des Pink Floyd...
bref, non loin de là se trouve le Reichstad (malheureusement je n'ai pu tester le dômé panoramique vu que tout les tickets horodatés étaient pris pour les 5 jours suivants)... et puis le mémorial de l'holocauste de Peter Eisenman.
Le mémorial est constitué d'une série de blocs en béton dont la hauteur varie. Le sol dans lequel s'ancrent ces "tombes" est modelé. L'ensemble forme un jeu topographique assez intéressant. Les blocs de la périphérie - sont utilisés comme banc par les touristes méditant sur la signification historique. Au centre du mémorial, les blocs plus élevés isolent le promeneur de l'animation de la ville allemande. Quelques rares rencontres sont faites au détour d'une rangée. Impression de solitude. Malgré le côté solennel du lieu et la présence de quelques gardiens, les blocs deviennent vite un immense terrain de cache-cache pour les insouciants de moins de 10 ans.
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