Un dimanche chez Liebeskind

Temps: toujours radieux...

Berlin est faite pour les circulations douces...peu de voitures, des transports en communs et de larges avenues façonnées par les méandres de l'Histoire... Passage par la East Side Gallery, morceau du mur "mis en peinture" par différents artistes...

Les affiches en croutes...

Le Gorlitzer Park

A la pl;ace d'un arbre manquant...

Sur une façade...

Et enfin le musée juif de Liebeskind... L'entrée du musée se fait par le bâtiment en forme de C sur le plan - une partie plus ancienne. Pour accéder à la nouvelle construction il faut emprunter un couloir en sous-sol en forme de sifflet... Là, 3 axes mènent à différentes parties: L'axe de l'exil conduit à un jardin dont le sol est en pente et constitué de piliers inclinés. Lorsqu'on se promène dans ce jardin minéral, la configuration spatiale provoque une sensation de déséquilibre. L'axe de l'holocauste mène vers une salle plus haute que large - sorte de boyau vertical au sommet duquel il y a une seul fenêtre. Enfin l'axe de la continuité conduit à la partie de musée plus traditionnel. Les différents axes se croisent dans le sous-sol et le fait qu'un parcours ne soit pas déterminé semble provoquer de la confusion chez certains visiteurs.

Le jardin de l'exil vu de la surface...

Après le musée juif, la faim nous tiraillant le ventre, nous sommes allés tester la curywurst... spécialité berlinoise une "frites - saucisse" et ketchup, le tout saupoudré de curry... 

La fin de l'après-midi se déroula tranquillement  au bord du canal au Freischwimmer - ancien hangar à bateau reconverti en bar. Les beats du club surpeuplé d'en face rythmaient le sirotage de l'apéro...