19 septembre 2010

Temps: Journée ensoleillée entre 22° et 29°C – chaud et humide
Après avoir passé les formalités d'arrivée immigration et douane, le premier jeu de piste fut de trouver un train entre Narita (l'aéroport) et Ikebukuro où nous allons loger. Malgré l'esprit englué par le manque de sommeil, la chasse minutieuse aux lettres latines et l'aide attentive des différents employés rencontrés nous ont permis de nous retrouver sans trop de mal dans le train dans la bonne direction.
Généralement, j'aime lire tous les textes que je rencontre en n'importe quelle langue. Ici, je suis totalement démunie, pas moyen de lire quoique ce soit à part les chiffres ou quelques lettres isolées. C'est assez frustrant... les caractères japonnais perdent les significations et ne sont pour moi que des inscriptions graphiques d'où l'immense complexité du tri sélectif et la grande difficulté à mettre un déchet dans la poubelle idoine...
Après avoir déposé nos bagages au ryokan (auberge japonnaise traditionnelle), en attendant le "check-in" nous nous sommes promenés dans Ikebukuro. Nous avons flâné dans les centres commerciaux à la recherche de fraicheur. Les rue tokyoïtes commerçantes ont un fond sonore assez riche : musique techno, musique traditionnelle, bonimenteurs, harrangue nationaliste.
Découverte du ryokan: Après s'être déchaussés à l'entrée, nous avons pu entrer dans notre chambre . La chambre est petite environ 3 – 3,5m x 3 – 3,5 m. Deux futons sont posés sur les tatamis du sol, une minuscule armoire encastrée dans le mur, un porte-manteau et une petite table basse, une lourde porte métallique clôt cet espace confiné aux murs particulièrement légers. Un "espace douche" est prévu à l'étage: les douches et les éviers collectifs donnent directement dans le couloir. Le sol des parties communes est en bois laqué noir. L'espace est compté mais confortable.

Boisson inconnue et goûtée: du thé vert ultra amer...

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